Depuis les années 80, je connais le Père François Mourad, martyr et confesseur de la foi du XXIè siècle.
Dès sa jeunesse il rêvait de revivre l'ascétisme de Saint Siméon le Stylite l'ancien et pour réaliser son rêve il contacte un jour des kurdes qui étaient installés à 500 m. du monastère de Saint-Siméon le Stylite ; il cherchait alors à acheter un terrain pour y construire un petit monastère qui avait pour vocation la méditation, la prière et le jeûne. Son désir était de laisser le monde d'ici-bas, pour se tourner résolument vers Dieu.
Dès le début de sa démarche, il est mal compris par
la hiérarchie de l'Eglise qui considère
son rêve comme utopique et irréalisable. Après qu'il eut acheté le
terrain qui convenait, près de
la Basilique Saint Siméon, les autorités civiles et le kurdes de part et
d'autre , inquiets de son projet, se mettent à voir en lui le retour
des croisés. Tous deux firent leur possible pour empêcher la réalisation
de son rêve.
Le Père François Mourad effectue alors une tournée en Europe, puis en Orient, afin de récolter des dons qui lui permettent de construire un monastère également dédié à Saint Siméon, dans la région de Ghassanieh. Pour se couvrir, il rattache son couvent à l'Archevêché syrien catholique de la ville de Hassakeh.
De son couvent il aura aidé des dizaines des familles de toutes confessions, surtout récemment. Il collabore alors avec les pères franciscains pour servir les fidèles. C'était vraiment un homme de Dieu aimant, servant et témoignant de Jésus-Christ, en dépit de l'incompréhension de la hiérarchie de l'Eglise.
Le Père François Mourad effectue alors une tournée en Europe, puis en Orient, afin de récolter des dons qui lui permettent de construire un monastère également dédié à Saint Siméon, dans la région de Ghassanieh. Pour se couvrir, il rattache son couvent à l'Archevêché syrien catholique de la ville de Hassakeh.
De son couvent il aura aidé des dizaines des familles de toutes confessions, surtout récemment. Il collabore alors avec les pères franciscains pour servir les fidèles. C'était vraiment un homme de Dieu aimant, servant et témoignant de Jésus-Christ, en dépit de l'incompréhension de la hiérarchie de l'Eglise.
Pourquoi lui est-il arrivé de mourir ainsi martyr, la tête tranché ? Il
a tout simplement refusé d'obtempérer aux menaces du Front al-Nosra qui
lui ordonnait de quitter le village...Le Père Françis Mourad est un
martyr, confesseur de la foi chrétienne.
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